Culpabilité, stress, burn-out… Travailler auprès des animaux de laboratoire peut provoquer un syndrome qui demeure tabou : la fatigue compassionnelle. Dans son édition numérique du 1er avril, Le Parisien est revenu sur une enquête de Science consacrée à la fatigue compassionnelle.
Pour cet article signé Gaël Lombart, le quotidien a interrogé :
- François Moutou, vétérinaire et épidémiologiste
- Ivan Balansard, président du Gircor
François Moutou souligne que « Dans les équipes, c’est clair que sacrifier les animaux, personne ne le fait de gaîté de cœur. » Comme le dit Ivan Balansard, « on commence à mettre un mot sur quelque chose que forcément, un jour ou l’autre, tout le monde a ressenti ».