L’Institut de technologie de Tokyo a étudié, sous un angle purement moléculaire, le pouvoir de régénération de tissus prélevés chez des amphibiens et des poissons. Le poisson zèbre, modèle animal par excellence, a permis d’identifier des molécules spécifiques et des mécanismes de signalisation impliqués dans la régénération tissulaire.
Les deux molécules clés, Fgf20 et FGF3, sont présentes chez toutes les espèces de vertébrés. Cette découverte ouvre la voie à une meilleure compréhension de la régénération des tissus, tant chez les mammifères que chez l’homme.